Cheap Trick, Hooveriii, Requin Chagrin, The Fratellis… : les albums de la semaine en streaming
Quoi de neuf dans les bacs cette semaine ? Pour le savoir, Pixbear vous propose sa sélection d’albums à écouter en intégralité. Au menu : les nouvelles livraisons de Cheap Trick, Hooveriii, Requin Chagrin, The Fratellis, Bill MacKay and Nathan Bowles, Briston Maroney, The Drums, The End Machine, Matthew E. White and Lonnie Holley, Nick Waterhouse, The Orb, Purgatory, Ricky Bird, Small Black et Spirit Of The Beehive. Bonne écoute !
Cheap Trick – In Another World
« Avec plus de 5000 concerts couvrant quatre décennies, 20 millions de disques vendus dans le monde et intronisé au Rock and Roll Hall of Fame, Cheap Trick est sans aucun doute l’un des groupes de rock les plus influents des 50 dernières années. Le groupe a été formé en 1974 et bien qu’il ait évolué au fil des ans, Cheap Trick a continué à atteindre un succès grand public et critique. Des tubes tels que I Want You To Want Me, Dream Police et Surrender ont consolidé le groupe comme l’un des meilleurs groupes de rock’n’roll américain de tous les temps. »
Hooveriii – Water For The Frogs
« Né à l’origine comme un projet de boîte à rythmes solo de Bert Hoover, Hooveriii (prononcé « Hoover Three ») a maintenant évolué vers sa véritable forme finale – un groupe de six membres adepte de la création de leur propre marque de rock spatial psychédélique. Ils sortent aujourd’hui Water For The Frogs, leur deuxième album, et leur premier pour le label The Reverberation Appréciation Society. De retour dans sa ville natale de Los Angeles et encouragé par le départ imminent du batteur de longue date de Hooveriii, Shaughnessey Starr, le groupe est retourné à la Station House à Echo Park, en Californie, pour travailler à nouveau avec l’ingénieur et producteur Mark Rains. En mettant à profit l’harmoniseur Eventide des années 70 du studio, le résultat final sont les 7 morceaux trouvés sur Water For The Frogs. Chacun est mûr avec suffisamment de couches sonores que les auditeurs trouveront quelque chose de nouveau à découvrir à chaque écoute. Cet album marque également la première fois où le groupe enregistre de toutes nouvelles chanson – leur premier album se composait de pistes que Hoover avait précédemment enregistrées et publiées sur des cassettes. »
Requin Chagrin – Bye Bye Baby
« Après la révélation du premier album, Requin Chagrin, en 2015, puis la confirmation du second, Sémaphore (2019) Marion Brunetto a été confrontée à la multitude d’options que peut représenter un troisième disque. Plutôt que de choisir dès le début, elle a exploré, des mois et des mois, des sons, des idées, des mots. On retrouve sa mélancolie, ses sensations planantes, mais également l’affirmation de soi, soulignée par des batteries frondeuses. Les textes comme la musique prennent moins de détours. L’ambition artistique ? Partir d’une dream pop pour l’affiner avec les réverbes du rock’n’roll, des échos des eighties, assouvir un besoin de lumière. Et, surtout, s’abandonner à son addiction assumée : le matériel instrumental. Ainsi, toute occasion a été bonne pour tester un synthétiseur ici, en emprunter un là, tâter et repincer des cordes de guitare. Chez Requin Chagrin, une chanson est une quête, et tout moyen est bon pour y parvenir. Avec sa seule volonté mais aussi le soutien de son entourage, de Nicola Sirkis, qui l’a signé sur son label KMS, à Chab (Daft Punk, Air, Sebastian) pour le mastering. S’est aussi distingué l’ingénieur du son Ash Workman (Christine & The Queen, Metronomy, Veronica Falls) qui, de sa ville anglaise de Margate, a musclé une compression sonore échappant néanmoins à toute agressivité : l’énergie renouvelée de Marion a été saisie tout au long de son travail sur les dix pistes de Bye Bye Baby. Débuté peu avant le confinement, terminé lors d’un enregistrement aux prestigieux studios bruxellois ICP, à la fin de l’été 2020, Bye Bye Baby témoigne de l’intériorité d’une artiste qui veut s’exprimer sur ce qu’elle est tout en racontant le monde autour d’elle. Elle a délaissé son enregistreur à cassettes pour celui à bandes (un Fostex A8 LR), une méthode qui a influé sur la composition des titres et offert autant de contraintes que de possibilités. Elle reste influencée par Beach House, Molly Nilsson, Exploded View, Pale Saints, The Proper Ornaments, Cigarettes After Sex, John Maus, le label Italians Do It Better, les démos de synthés et pédales d’effets vintages, Kate Bush, et les Cocteau Twins, auxquels elle reste religieusement fidèle. »
The Fratellis – Half Drunk Under A Full Moon
« Si vous pensiez connaître The Fratellis, détrompez-vous. Half Drunk Under A Full Moon, le sixième album du groupe de Glasgow, est un délice kaléidoscopique plein de surprises, de la flamboyante chanson-titre et des chansons luxuriantes imprégnées de cuivres et de cordes aux rebondissements de la chanson avec laquelle le trio a d’abord trouvé la gloire. Après le succès du Top 5 de 2018, In Your Own Sweet Time, salué par la critique, The Fratellis ont commencé à travailler sur leur audacieuse suite, dans une forme dynamique. ‘Avec le dernier album, nous avions le sentiment d’avoir atteint la destination que nous avions toujours eue à l’esprit’, déclare Jon Fratelli, chanteur et compositeur du groupe. ‘Nous avions élargi notre son en essayant de nouvelles idées, qui, je pense, ont toutes fonctionné. Avec cet album, le but était de pousser ces idées encore plus loin. Souvent, nous sommes allés trop loin !’. »
Et aussi…
Enfin, Bill MacKay and Nathan Bowles, Briston Maroney, The Drums, The End Machine, Matthew E. White and Lonnie Holley, Nick Waterhouse, The Orb, Purgatory, Ricky Bird, Small Black et Spirit Of The Beehive clôturent ce panorama des sorties de la semaine avec leurs nouveaux albums à découvrir en intégralité ci-dessous. Pour ce faire, cliquez sur le disque de votre choix.
Bill MacKay and Nathan Bowles – Keys
Briston Maroney – Sunflower
The Drums – MOMMY DON’T SPANK ME
The End Machine – Phase2
Matthew E. White and Lonnie Holley – Broken Mirror: A Selfie Reflection
Nick Waterhouse – Promenade Blue
The Orb – Abolition of The Royal Familia (Guillotine Mixes)
Purgatory – Lawless To Grave
Ricky Byrd – Sobering Times
Small Black – Cheap Dreams
Spirit Of The Beehive – Entertainment, Death
Publié le 09/04/2021
8 choses que vous ne saviez pas sur Cheap Trick
« Dans les années 70, Cheap Trick a assuré les premières parties de Kiss, The Kinks, Queen ou encore Thin Lizzy. Merci, je sais. C’est la base lorsque l’on s’intéresse au groupe ! » hurlez-vous devant votre écran. Calmez-vous pour l’amour du rock. Êtes-vous certain de tout savoir sur Cheap Trick ? Pour vous en assurer, Pixbear a rassemblé 8 anecdotes méconnues sur cette formation emblématique du rock américain.