10 choses que vous ne saviez pas sur les Stereophonics
« Kelly Jones (chant, guitare) et Stuart Cable (batterie) habitaient la même la même rue dans le village de Cwmaman (Pays de Galles). Merci, je sais. C’est la base lorsque l’on s’intéresse aux Stereophonics ! » hurlez-vous devant votre écran. Calmez-vous pour l’amour du rock britannique. Êtes-vous sûr à 100% de tout savoir sur les Stereophonics ? Pour vous en assurer, Pixbear a rassemblé 10 anecdotes méconnues sur le groupe emmené par Kelly Jones.
01. Tragic Love Company
Kelly Jones (chant, guitare), Richard Jones (basse) et Stuart Cable (batterie) ont commencé leur carrière ensemble en 1992 sous le nom de Tragic Love Company, un nom inspiré par leurs groupes préférés, à savoir The Tragically Hip, Mother Love Bone et Bad Company.
02. (The) Stereophonics
Le trio Tragic Love Company s’est rebaptisé The Stereophonics. L’idée est venue à Stuart Cable après avoir vu la marque du gramophone de sa grand mère Falcon Stereophonic. En 1996, alors qu’il signait un contrat avec le label V2 Records, les Gallois ont enlevé le « The » pour ne garder que Stereophonics.
03. Billy Davy’s Daughter
La chanson Billy Davy’s Daughter, présente sur le premier album des Stereophonics Word Gets Around (1997), a été inspirée par l’histoire d’une fille qui habitait dans un ville près de Cwmaman (Pays de Galles). Elle s’était tuée après s’être jetée d’un pont dans une rivière. Quelques années plus tard, Kelly Jones a rencontré son père Billy Davy qui l’a complimenté pour cette chanson.
04. Language. Sex. Violence. Other?
Le titre du cinquième album des Stereophonics Language. Sex. Violence. Other? (2005) fait référence au code de classification utilisé pour les films et DVDs contenant des contenus destinés aux adultes.
05. V2 Records
Les Stereophonics ont été le tout premier groupe à signer un contrat avec le label indépendant V2 Records. Cette maison de disque avait été créée par Richard Branson en 1996, cinq ans après avoir vendu Virgin Records à la major EMI.
06. Dakota
La chanson Dakota, présente sur le cinquième album des Stereophonics Language. Sex. Violence. Other? (2005), s’intitulait à l’origine Vermilion. Le groupe a changé son titre après que Slipknot a sorti en 2004 le single Vermilion, extrait de son troisième album Vol. 3: (The Subliminal Verses). Dakota a été le premier single des Stereophonics à se classer en tête des charts britanniques. Les derniers Gallois à avoir réussi cet exploit était les Manic Street Preachers en l’an 2000.
07. Performance and Cocktails
La pochette du deuxième album des Stereophonics Performance and Cocktails (1999) est une photo prise par Scarlet Page à l’automne 1998 à Londres (Angleterre). La mannequin Lucy Joplin au premier plan a expliqué en 2007 que son regard dans le vague avait été causé par une soirée arrosée à l’absinthe et à l’opium…
08. I Wouldn’t Believe Your Radio
La chanson I Wouldn’t Believe Your Radio, présente sur le deuxième album des Stereophonics Performance and Cocktails (1999), est venue à Kelly Jones dans un rêve. D’après ses déclarations, Ringo Starr et George Harrison chantaient cette chanson assis sur un trottoir. A son réveil, il l’a retranscrite selon ses souvenirs…
09. Local Boy in the Photograph
La chanson Local Boy in the Photograph, présente sur le premier album des Stereophonics Word Gets Around (1997), a été inspirée par un garçon de Flint (Pays de Galles) qui s’était suicidé en se jetant devant un train. « J’avais l’habitude de jouer au football, et il y avait un enfant qui jouait » se rappelle Kelly Jones. « J’ai appris à le connaître assez bien – c’était un beau gosse qui avait tout pour plaire. Quelques années plus tard, nous avons découvert qu’il avait sauté devant un train. Il y avait une photo de lui dans le journal local, c’était une photo de lui en train de fumer un joint, en fait. C’est la photo qu’ils ont utilisée et c’était le garçon du coin sur la photo. Je n’avais jamais connu quelqu’un de notre âge qui avait fait ça, mettre fin à ses jours. ».
10. Six ans
Six années se sont écoulées entre la première collaboration entre Kelly Jones et Stuart Cable et la naissance des Stereophonics… En 1986, Kelly Jones (chant, guitare), Stuart Cable (batterie), Nicholas Geake (guitare), Paul Rosser (basse) et Chris Davies (claviers) avaient enregistré ensemble une démo sous le nom de Zephyr. Kelly Jones, Paul Rosser et Chris Davies avaient ensuite fondé le groupe Silent Runner tandis que Stuart Cable avait rejoint King Catwalk. Le batteur s’était retrouvé ensuite sans groupe et avait repris contact avec Kelly Jones. Entre-temps, Richard Jones avait intégré Silent Runner à la basse. En 1992, Kelly Jones, Stuart Cable et Richard Jones ont finalement décidé de rester en trio posant les fondations futures des Stereophonics…
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Publié le 17/04/2024