Photos Pygmy Johnson & Colony @ Soirée Pixbear au Truskel 2014
On l’a fait ! Pixbear est fier d’avoir organisé sa première soirée Jeudi Live au Truskel. Pour l’occasion, les artistes Colony et Pygmy Johnson ont donné des concerts avant de libérer la piste pour les DJs. Retour en images et en impressions sur cette soirée inoubliable pour nous et, on l’espère, pour ceux venus si nombreux nous soutenir !
*** Les photos ne sont pas libres de droits /// All rights reserved ***
Après les préparatifs d’usage entamés dès 18h, la soirée Jeudi Live au Truskel démarre officiellement à 20h. Vers 20h30, le duo parisien Colony entre en scène. Basile Di Manski (guitare acoustique, chant) et Nicolas LaFaccia (guitare électrique, chœurs) proposent un set de quatre chansons aux influences pop, folk et electro. Stay Gold, Open Jail, Forever After et No Disc se succèdent.
Le duo, renforcé en cours de route par Hubert Corvette, propose des textures sonores élégantes alimentées par des effets bien maîtrisés. A la guitare, Nicolas habille les morceaux d’interventions soignées. Au chant, Basile démontre son habilité en anglais et mène la danse. Colony se décrit comme une manufacture de chansons et remplit parfaitement son office. Le groupe se produira au 114 (Paris) le 13 novembre 2014. On y sera !
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Pygmy Johnson déroule un fil conducteur importé des grandes plaines américaines
Dans la foulée, le gang voodoo rock de Pygmy Johnson s’installe. Un peu à l’étroit sur la scène du Truskel, les cinq musiciens entament leur prestation avec My Useless Woman présent sur leur premier opus You Will Walk Alone paru au printemps dernier. Dans une avalanche de distorsion pour le moins inquiétante, les Parisiens lancent cette première chanson au rythme très martial qui n’est pas loin de nous faire penser aux Black Angels.
De sa voix grave, le frontman Pygmy Johnson envoûte l’auditoire. Dans la foulée, le garage surf rock de This Is Not Hollywood rappelle les Cramps. Les têtes bougent en chœur. Le quintette poursuit sa chevauchée fantastique avec le rampant Motor, le surfy mariachi The Beauty of It et les plus posés Strange Little Boys et It’s Only Pain. Pygmy Johnson déroule un fil conducteur importé des grandes plaines américaines.
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Merci à tous ceux qui ont rendu possible cette première soirée
Le torturé Gone est l’occasion pour le guitariste Reverend Don Djamaï de faire hurler sa guitare. Le reste du groupe démontre une solidité rythmique à toute épreuve. Pour terminer en beauté, Pygmy Johnson, armé de ses claviers, dévoile un visage electro psyché avec Queens of Salem et The Last Ride avant de proposer une séance de recueillement avec le pénétrant et insolite The Stalker.
Devant l’insistance du public, le groupe revient pour un rappel exceptionnel. Il sert à nouveau This Is Not Hollywood qui passe toujours aussi bien que la première fois. Pygmy Johnson sera en concert au centre FGO – Barbara Fleury (Paris) le 11 décembre prochain. A ne pas manquer !
Dans la foulée de ces deux prestations, la soirée Jeudi Live au Truskel s’est poursuivie jusqu’à 5h du matin en musique et en images avec les photos de notre fondatrice Joëlle Rasoarivelo projetées sur les écrans du club. Merci à tous ceux qui ont rendu possible cette première soirée. Merci à Plugged, au Truskel et à Magic pour leur soutien. On espère organiser une nouvelle soirée très prochainement. To be continued…
LA SET LIST COMPLÈTE (PYGMY JOHNSON) :
MY USELESS WOMAN
THIS IS NOT HOLLYWOOD
MOTOR
THE BEAUTY OF IT
STRANGE LITTLE BOYS
IT’S ONLY PAIN
GONE
QUEENS OF SALEM
THE LAST RIDE
THE STALKER
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THIS IS NOT HOLLYWOOD