12 choses que vous ne saviez pas sur les Libertines
Vous pensez que les Libertines n’ont aucun secret pour vous ? Vous êtes persuadé que vous connaissez les moindres histoires entourant la carrière du gang emmené par les frères ennemis Pete Doherty et Carl Barât ? Pixbear vous propose de vérifier tout ça au travers de quelques anecdotes croustillantes qui vous ont peut-être échappé.
01. Sous l’influence du Marquis de Sade
Les Libertines tirent leur nom du livre du Marquis de Sade The Lusts of the Libertines, doux florilège de perversions sexuelles et de sado-masochisme.
02. Johnny Borrell
Johnny Borrell a fait partie d’une des premières incarnations des Libertines. Il assurait la basse et était présent lors de l’écriture du premier album. Il aurait été congédié pour ne s’être pas pointé à un show-case. Son excuse ? Partir en tournée avec un autre groupe.
03. Enfance militaire
Pete Doherty a grandi dans différentes garnisons, son père étant un officier de l’armée britannique.
04. Un coup de poing dans la gorge
Le titre du premier album des Libertines Up the Bracket est une référence issue du show radio britannique Hancock’s Half Hour. Cette expression populaire signifie « un coup de poing dans la gorge ». Ça correspond bien à l’album.
05. Inspiration au cimetière
Après avoir fini ses études de lettres, Pete Doherty a emménagé dans l’appartement de sa grand-mère à Londres (Angleterre). A cette époque, son travail consistait à remplir des tombes au cimetière de Willesden. Il passait le plus clair de son temps à lire et à écrire assis sur les pierres tombales.
06. This Charmless Man ?
Lorsque Pete Doherty a demandé à Carl Barât de lui jouer à la guitare This Charming Man des Smiths, ce dernier a entamé Charmless Man de Blur. Le bonhomme ne connaîtrait donc pas les Smiths ? Sachant cela, Pete Doherty a brûlé sa guitare (non, on plaisante…).
07. Session live
Up the Bracket a été enregistré majoritairement en live aux RAK studios de Londres (Angleterre). Le producteur Mick Jones (ex-The Clash) a laissé le groupe jouer plusieurs fois les morceaux et a gardé les meilleures prises.
08. Qu’est-ce que vous dites ?
Carl Barât est partiellement sourd depuis 2005 suite à une opération consistant à extraire une tumeur de derrière son oreille.
09. Sgt. Libertines
Pete Doherty et Carl Barât ont repris le classiques des Beatles A Day in the Life pour la radio britannique Radio 2. Cette reprise faisait partie du projet de ré-enregistrer l’album des Fab Four Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band à l’occasion du 40ème anniversaire de sa sortie en 2007.
10. Pete et la presse
En 2008, Pete Doherty a commandé une sculpture en marbre le représentant sur une croix pour l’un de ses concerts solo à Londres (Angleterre). Il y apparaissait entouré de journaux pour symboliser l’acharnement médiatique dont il était victime.
11. Hors de contrôle
Alan McGee, ex-manageur de Primal Scream et d’Oasis, a déclaré que les Libertines avaient été le groupe le plus difficile à manager. « Les Libertines étaient complétement hors de contrôle » a-t-il expliqué au journal britannique The Guardian en 2013.
12. Police anti-émeute
La photographie utilisée pour la pochette d’Up the Bracket montre la police anti-émeute argentine lors d’une manifestation contre la crise économique au tournant du deuxième millénaire.
Vous en voulez encore ?
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Photos The Libertines @ Zénith de Paris 2014
Publié le 04/12/2024
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