10 choses que vous ne saviez pas sur les Sex Pistols
« Avant d’adopter le nom de Sex Pistols, le groupe s’est fait appeler The Strand puis The Swankers. Merci, je sais ! » hurlez-vous devant votre écran la bave aux lèvres. Calmez-vous pour l’amour du punk. Êtes-vous sûr de vraiment tout savoir sur les Sex Pistols ? Pour vous en assurer, Pixbear a rassemblé 10 anecdotes méconnues sur ce groupe emblématique de la scène punk britannique.
01. Sid Vicious vs. Steve Jones
Enrôlé pendant l’enregistrement du premier album des Sex Pistols Never Mind the Bollocks, Here’s the Sex Pistols (1977) en remplacement de Glen Matlock, Sid Vicious ne joue que sur deux chansons de l’album. C’est le guitariste Steve Jones qui joue le reste des parties de basse.
02. Belsen Was a Gas
La chanson Belsen Was a Gas, présente sur l’album live The Great Rock ‘n’ Roll Swindle (1979), fait référence au camp de concentration nazi de Bergen-Belsen (Allemagne) libéré par les Anglais en 1945. A l’origine, Sid Vicious avait trouvé comme titre Belsen Was a Gag mais Johnny Rotten l’a rebaptisé Belsen Was a Gas en référence à la chanson de T. Rex Life’s a Gas.
03. Pretty Va-cunt
Glen Matlock s’est inspiré de la chanson pop d’ABBA, S.O.S., pour composer le riff de Pretty Vacant, présent sur l’album Never Mind the Bollocks, Here’s the Sex Pistols (1977). C’est la seule chanson des Sex Pistols à avoir été jouée dans l’émission Top of the Pops et, ce, malgré le fait qu’elle signifie « pretty va-cunt »…
04. Cleptomane
Le guitariste Steve Jones a volé des équipements appartenant à David Bowie lors du dernier concert donné par celui-ci en tant que Ziggy Stardust en 1973.
05. Disque d’or
L’album Never Mind the Bollocks, Here’s the Sex Pistols (1977) a mis dix ans à obtenir le statut de disque d’or aux Etats-Unis.
06. Holidays in the Sun
Le riff de la chanson Holidays In the Sun, présent sur l’album Never Mind the Bollocks, Here’s the Sex Pistols (1977), est un plagiat de celui d’In the City des Jam. Sid Vicious et Paul Weller se sont d’ailleurs pris le bec au Speakeasy Club de Londres (Angleterre) au sujet de cette chanson.
07. The Four Johns
Avant de jouer ensemble dans les Sex Pistols, John Lydon, alias Johnny Rotten, et John Simon Ritchie, alias Sid Vicious, squattaient en compagnie de Joseph Wardle, alias Jah Wobble, et John Grey. On les appelait The Four Johns…
08. Imitation de troisième zone
La critique du NME de la chanson Anarchy in the UK, extraite de l’album Never Mind the Bollocks, Here’s the Sex Pistols (1977), indiquait : « Johnny Rotten chante plat, la chanson est comiquement naïve et le sentiment général est une imitation de troisième zone des Who ». Moralité : ne jamais croire le NME…
09. La valse des labels
Le 8 octobre 1976, les Sex Pistols ont signé un contrat de deux ans avec EMI mais, suite à leur passage remarqué dans The Bill Grundy Show (ils avaient osé prononcer des gros mots), c’est Richard Branson et son label Virgin qui les ont récupérés. Ça s’appelle avoir du nez… Entre temps, un contrat avait été signé avec A&M Records mais Sid Vicious ayant ravagé les bureaux du label, ce contrat avait été annulé…
10. Une trace de pipi…
En 2005, les Sex Pistols ne se sont pas rendus à la cérémonie d’introduction au Rock and Roll of Fame. Au lieu d’y aller, ils ont fait lire un communiqué par le fondateur de Rolling Stone, Jann Wenner, dans lequel ils avaient écrit : « A côté des Sex Pistols, ce Hall of Fame est une trace de pipi… ».
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Publié le 15/11/2024