
Avis de passage : Foster the People, Dope Lemon, Arthur Satàn, Belzebong…
Nouvelles annonces de concerts ! Foster the People, Dope Lemon, Arthur Satàn et Belzebong nous rendront prochainement visite. Où et quand ? La réponse est ici !
03/07/2025 – Foster the People @ Le Trianon
« Révélés par le hit mondial Pumped Up Kicks en 2011, ils se sont imposés comme l’un des groupes phares de la scène indie-pop : Foster the People seront de retour à Paris avec leur Paradise State of Mind Tour pour enchanter Le Trianon de leurs mélodies lumineuses et accrocheuses, jeudi 3 juillet prochain ! Révélé en 2011 avec le hit mondial Pumped Up Kicks, Foster The People s’est rapidement imposé comme l’un des groupes phares de la scène indie-pop américaine. Emmené par le chanteur et compositeur Mark Foster, le groupe a su évoluer au fil des albums, mêlant mélodies accrocheuses, production inventive et questionnements existentiels. Après Torches, Supermodel et Sacred Hearts Club, le groupe a opéré un retour inspiré avec Paradise State of Mind en 2022, un disque solaire et introspectif, où la joie devient un acte de résistance. »
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10/09/2025 – Dope Lemon @ La Cigale
« Dope Lemon (Angus Stone) revient avec Golden Wolf son cinquième album à paraître le 2 mai ! Ce cinquième chapitre de l’aventure de Dope Lemon (Angus Stone), nous embarque à bord d’un hydravion mythique vers une hacienda oubliée, entre désert et mer. Ce nouvel album mêle introspection et paysages sonores sauvages, oscillant entre rock ensoleillé et grooves nocturnes. Des titres comme Electric Green Lambo, She’s All Time, Sugarcat ou John Belushi explorent le mystère, l’amour et la folie douce. Depuis Honey Bones (2016), Dope Lemon a conquis un public mondial, cumulant plus de 700 millions de streams et des tournées internationales. Golden Wolf prolonge cette odyssée musicale. Dope Lemon sera sur la scène de La Cigale le 10 septembre 2025 ! »
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27/09/2025 – Arthur Satan @ La Maroquinerie
« A journey that never was, deuxième album solo d’Arthur Satàn, paru chez Born Bad, permet de savoir ce qu’il se passe quand on abandonne un enfant à son sort dans un studio son, qu’on le laisse vieillir avec pour seuls copains ses figurines Warhammer alignées sur une pile de vieux Métal Hurlant, et qu’on met le temps sur pause pendant quelques décennies. Et…en fait ça va : le mélodiste bordelais a toute une famille d’amis imaginaires à vous présenter. So far so good, son premier solo ostensiblement pop, avait pu surprendre les fans du son garage-issu-de-la-diversité-musicale de son groupe JC Satàn. Dans ce double-album tellement long qu’il va falloir un bac spécial pour l’accueillir, le guitariste offre une fête de la musique déraisonnable et maximaliste, gavée d’influences pop 1960’s, complètement assumées. Elles sont toutes là, elles lui parlent depuis des années. Et ce John et ce Paul, dont vous parlez, ils sont dans la pièce ? Oui, et ils sont venus avec la décennie musicale suivante. Ce disque de grand solitaire bien entouré joue avec cet héritage comme un enfant rêverait son goûter d’anniversaire si on lui foutait la paix. On joue au bowling avec la tête de ses ennemis, les guitares saignent, y’a pas de chasse au trésor à la con. Au menu, burgers de T-Rex sauce grand veneur, des fontaines de cordes en chocolat, qui dégoulinent sur des gaufres de cuivre, sculptées en forme de Brian Wilson, posées sur une straciatella de chœurs épiques. Le yaourt anglais de jadis est devenu fromage de texte maturé en cave. Et chaque chanson est une famille musicale, chaque couplet est un album, chaque riff est un titre. C’est plus un disque, c’est une fractale, c’est un chou romanesco. Dans sa liste de cadeaux de Noël, Arthur avait entouré absolument tous les jouets. Il y a un côté encyclopédiste façon Bouvard et Pécuchet de la pop qui ne déçoit jamais : tout est maîtrisé. Multi-instrumentiste, Arthur Satàn a aussi mixé cet album, conçu tout une cosmogonie destinée à l’accompagner. Alors la pochette, on s’en serait douté, c’est lui aussi. Graphiste de son état, il a tenu à réaliser à la pogne une fresque monumentale qui étale en cinémascope le paysage mental heroïc-fantasy qui hante cet album, moitié Bosch moitié Druillet. Plus on reste enfermé dans cette oeuvre, plus on constate que c’est Sa majesté des mouches pour un seul gosse, crashé en Terres-du-Milieu. On se ferait presque du mouron pour ce bourreau de travail, car ce genre de disque se paye, et laisse vide. Venez lui tenir compagnie un peu. »
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03/12/2025 – Belzebong @ Le Backstage by the Mill
« Vivre pour le fuzz, Mourir par le bong, tel est le crédo de BelzebonG, dont un nouvel album est attendu pour accompagner cette (faites) tournée de fin d’année. »
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Publié le 24/04/2025