Avis de passage : The Lemonheads, Just Mustard, Robert Finley, Soft Kill + Choir Boy…
Nouvelles annonces de concerts ! The Lemonheads, Just Mustard, Robert Finley et Soft Kill + Choir Boy nous rendront prochainement visite. Où et quand ? La réponse est ici !
14/05/2022 – The Lemonheads @ Le Petit Bain
« Venus du rock punk et hardcore de la scène indépendante bostonienne, The Lemonheads explose au début des années 1990 avec une power pop efficace et mélodique et quelques reprises enthousiasmantes (de Suzanne Vega à Simon and Garfunkel). En 1992 ils délivrent l’essentiel It’s a Shame About Ray, album rock alternatif devenu incontournable en pleine vague grunge. Menés par Evan Dando, leader au charisme de top model, The Lemonheads reviennent en 2022 pour fêter les 30 ans de cet album mythique qui vous sera joué dans son intégralité ! »
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21/10/2022 – Just Mustard @ Le Hasard Ludique
« Le quintette de Dundalk, Irlande, Just Mustard annoncent leur très attendu deuxième album Heart Under qui sortira le 27 mai 2022 sur Partisan Records (leur premier album sur ce label). Pour coïncider avec cette annonce, ils partagent le premier single Still accompagné d’une video hypnotisante, réalisée par Balan Evans. Heart Under succède au premier album de Just Mustard Wednesday sorti en 2018 qui fut acclamé autant dans leur pays qu’à l’étranger et nominé aux Choice Music Prize pour l’album Irlandais de l’année. Fader encense leur ‘intense et riche shoegaze qui rencontre la noise’, NME appelle leur album ‘un chef d’œuvre en deux tons’, l’Irish Independant le décrit comme ‘une virée frissonnante à l’atmosphère tourbillonnante’ et Stereogum dit ‘Just Mustard repoussent les limites soniques de l’émotion’… »
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12/06/2022 – Robert Finley @ Le Trabendo
« Le premier album, cela pouvait être la chance, le deuxième le résultat de la production experte de Dan Auerbach/The Black Keys et de ses complices de studio/label Easy Eye Sound… Avec ce troisième album Sharecropper’s Son sorti le 21 Mai 2021, plus de doute : Robert Finley est bien une des voix soul et blues majeures de ce début de millénaire ! S’il s’était facilement glissé dans l’élégant costume taillé pour lui par son producteur pour Goin’ Platinum!, il a cette fois pris en main les commandes – notamment à l’écriture –, pour un album dont il explique ailleurs la nature autobiographique ancrée dans son histoire personnelle et notamment dans son enfance rurale. Le titre d’ouverture, le très puissant Souled out on you, fait le lien avec l’atmosphère du disque précédent, et notamment avec son imprégnation par le Memphis sound. La référence soul est à nouveau présente – grâce en particulier au Wurlitzer du vétéran Bobby Wood et à une section de cuivres percutante –, mais laisse place sur une bonne partie des titres à un ancrage blues racinien marqué par la présence de deux figures du genre, le guitariste Kenny Brown, ‘fils adoptif’ de R.L. Burnside, et le bassiste Eric Deaton. Les questions d’étiquette n’ont cependant que peu de sens à l’écoute du disque, qui repose essentiellement sur la voix puissante et riche de Finley, qui va tutoyer les étoiles sur le très beau I can feel your pain, et sur la profondeur et la richesse de son écriture. Sur des titres comme Make me feel again ou My story, Finley part de son expérience propre pour toucher au cœur de quelques vérités essentielles. Le gospel All my hope, visiblement très personnel, apporte un final poignant à un disque sans faiblesse, le genre d’album qui donne de l’espoir dans la vitalité et l’avenir des musiques qui nous sont chères. »
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12/06/2022 – Soft Kill + Choir Boy @ Le Petit Bain
« Soft Kill ont retourné 2016 avec leur première sortie sur Profound Lore Records, Choke. Ils reviennent ensuite avec le triomphal Savior, sorti chez Profound Lore Records en 2018. L’écriture de Savior a été déclenchée en revenant de tournée: la femme du leader Tobias Sinclair a commencé à saigner dans la camionnette, à huit mois de grossesse. Le groupe couru jusqu’aux urgences les plus proches pour sauver à la fois la mère et l’enfant à naître. Bien que l’opération se soit bien déroulée, le poumon du bébé s’est perforé le 2ème jour. Tobias a été contraint d’attendre et d’assister impuissant à la valse des médecins et des infirmières luttant pour maintenir son nouveau-né en vie. Bloqué loin de chez lui, il acheta une guitare, emprunta une basse à un ami et commença à écrire des chansons qui finirent par devenir le cœur de Savior. Tobias a écrit des chansons sur la crainte de la perte de son fils, sa lutte contre la toxicomanie, les nombreuses tragédies qui ont jalonné sa vie, et l’espace vide suspendu entre le deuil et la célébration, la vie et la mort. Leur dernier album, Dead Kids R.I.P. City, sorti en 2020, a été produit par David Trumfio (Built To Spill, Wilco) et masterisé par Howie Weinberg (The Cure, Smashing Pumpkins, Nirvana). L’album est composé de dix chansons. Chaque morceau évoque une personne dont la vie difficile nous est contée, les oubliés de la croissance folle de Portland. Traumatismes, dépendance et mort dans la rue. Désenchanté et nostalgique, mais si lumineux par instants, touchant une intensité émotionnelle rare. L’influence de groupes comme The Cure est plus que palpable. Les nappes de guitares et de synthés, dignes de Desintegration, nous entraînent dans une atmosphère sombre et sentimentale, dont seul Soft Kill a le secret. Soft Kill est devenu une centrale électrique, combinant sans effort les genres, toujours avec cette narration émotionnelle puissante et brute de propre à Tobias Sinclair. De la perfection pop aux guitares gonflantes et écrasantes, en passant par un chanté implacable, Soft Kill est un tour de force créatif. Puisant dans une palette musicale diversifiée, ils sont influencés par les premiers U2, Gun Club, The Replacements, et offrent en passant un requiem à Tom Petty. »
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Publié le 06/03/2022
Evan Dando : les 22 bonnes paroles d’un sex-symbol indie rock
Artiste emblématique de la scène indie rock de Boston (Massachusetts), Evan Dando a connu le succès au fil des années 90 en tant que frontman des Lemonheads. Au cours de sa carrière, il s’est également illustré en solo et à la tête du MC5 à l’occasion d’une tournée en 2004. Pour lui rendre hommage, Pixbear a rassemblé 22 citations qui en disent long sur la personnalité de ce sex-symbol indie rock.