Esmerine : gagnez des places pour leur concert au Point Ephémère (Paris) !
Le 15 mars 2017, Esmerine, projet satellite de Godspeed You! Black Emperor, se produira au Point Ephémère (Paris) pour y défendre son nouvel opus Mechanics of Dominion paru en octobre dernier. Pixbear vous propose de remporter des places pour assister à ce concert. LE CONCOURS EST TERMINÉ – MERCI DE VOTRE PARTICIPATION !
Pixbear vous fait gagner 2×1 places pour retrouver Esmerine sur la scène du Point Ephémère (Paris) le 15 mars 2018 avec les Lillois de Bärlin en première partie. Pour participer, rien de plus simple, devenez fan de notre page Facebook et laissez un commentaire via le module Facebook présent en bas de cet article. Les deux gagnants seront tirés au sort et contactés quelques jours avant le concert. Bonne chance !
Les forces en présence…
Esmerine – Parmi les nombreux projets parallèles entourant Godspeed You! Black Emperor, Esmerine (Constellation Records / Canada) est certainement celui qui rassemble le moins de musiciens et qui dégage une atmosphère des plus pures. En effet, mariant des percussions menées par Bruce Cawdron (GY!BE, Set Fire to Flames…) et un violoncelle dompté par Beckie Foon (A Silver Mount Zion, Set Fire to Flames…), Esmerine fonde un couple harmonieux qui ne permet que quelques apparitions (diluées au compte goutte) d’Efrim Menuck (GY!BE) pour l’harmonium et de Thierry Amar (GY!BE) pour la basse et la contrebasse. Exit les guitares donc. Du reste, il en ressort un minimalisme encore plus frappant que celui auquel nous a habitué le groupe Rachel’s. Le groupe viendra présenter leur nouvel album Mechanics Of Dominion paru sur Constellation Records.
Bärlin – Une musique à l’image d’une ville. Fragments de sons, battements de coeur. Ruelles sombres, et clubs enfumés. Des histoires d’amour qui croisent des rêves brisés. Un intrigant mélange de sonorités rock et jazz, d’ambiances feutrées et de grondements de foule. Bärlin est un groupe de low-rock alternatif aux sonorités jazz, un trio composé d’une clarinette, d’une basse et d’une batterie. De ruelles sombres en clubs enfumés, leur musique est telle une déambulation nocturne dans une ville fantomatique. Quelques notes de clarinette qui déchirent la nuit, un chant possédé et des nappes de basse enveloppantes font surgir un univers fantasmé, hors du temps, entre grandeur et décadence. On plonge alors dans les cabarets glauques du Berlin des années 30, dans la ville rêvée de Wim Wenders entre Nick Cave et Tuxedomoon, ou dans les limbes d’un Detroit en ruine, encore hanté d’un blues aux accents sombres, rappelant Morphine et Sixteen Horsepower.
Publié le 27/02/2018